Né en 1943, curieux de découvrir des sociétés et des cultures différentes, j’ai dès mon plus jeune âge rêvé de parcourir le monde.
A 22 ans, ayant dû renoncer à cette entreprise, j’ai assouvi ma curiosité en exerçant de multiples professions.
J’ai été serrurier, forgeron, fondeur, ajusteur…
Enfant, j’ai beaucoup lu les récits des grands explorateurs, je partais avec eux dans des contrées inconnues.
Je crois que je suis restée l’exploratrice de mes rêves d’enfant.
Les voyages ont été le fil conducteur de ma vie, à quelques kilomètres ou plus loin, sans limites…
Je dessine depuis toujours.
La passion pour l’aquarelle est arrivée avec la recherche de la couleur. J’ai aimé la fraicheur des pigments, la facilité apparente du matériel et surtout le médium : l’eau.
Je vis dans un village niché dans la forêt de Fontainebleau.
Visible de mes fenêtres et principal lieu de mes balades, c’est un grand sujet qui inspire mon travail.
Contempler les couleurs du monde qui m’entoure et la beauté inhérente à chaque objet m’invite à transmettre ce que je ressens par la peinture à l’huile , le pastel, l’aquarelle seule écriture qui me soit accessible.
Dès l’âge de 5 ans, Pierre SCHOLLA manie craies et crayons de couleurs.
Etudiant la lithographie, il obtient son C.A.P. sur les conseils de son père « pour assurer son avenir » Il prépare les Arts et Métiers, et décroche un diplôme de dessinateur industriel et de menuisier-ébéniste, ce qui l’aidera dans la création de ses « objets-sculptures ».
Installé dans la région parisienne depuis 1970, d’abord à Paris, puis à Mennecy dans l’Essonne, à Dammarie-lès-Lys et, enfin, à la Rochette depuis 2021.
Autodidacte, je suis attiré par le dessin et les couleurs depuis mon enfance. Dès l’école primaire je montrais de bonnes dispositions pour les arts graphiques.
Jean-Bernard SUSPERREGUI est né en 1952. Autodidacte, il réalise ses premières sculptures en 1969. « De son maître Marino DI TEANA, Jean-Bernard SUSPERREGUI a appris l’importance du vide, et celle de la patience.
Comme le sculpteur italien, il sait en opposant deux masses, donner à leur intervalle une densité presque palpable.
J’ai découvert la peinture grâce à une rencontre qui s’est concrétisé dans l’atelier de Marie Claude Mignoneau, auquel j’ai participé pendant 2ans.
Puis j’ai suivi ma propre route, je me suis aventurée vers l’abstrait ou les formes et les couleurs inlassablement jouent entre ombre et lumière.
